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  • Comment améliorer l’isolation de son logement ?

    Comment améliorer l’isolation de son logement ?

    Si vous êtes propriétaire de votre logement, vous n’êtes pas sans savoir qu’il est parfois nécessaire de réaliser quelques travaux. Si ce dernier est mal isolé, vous devrez donc faire en sorte d’améliorer l’isolation. Pour cela, il y a plusieurs choses à faire, tel que changer ses fenêtres avec un fournisseur comme Fenêtres Lorenove : https://www.fenetres-lorenove.fr/. Bref, faisons le point sur différents éléments nécessaires pour travailler votre isolation.

    Les choses à faire pour mieux isoler votre logement

    Avant de vous lancer dans d’importants travaux, nous vous conseillons de jeter un œil du côté des aides du gouvernement pour les rénovations énergétiques. Une fois ceci fait, vous pourrez alors attaquer l’un des chantiers suivants (voire plusieurs si cela est nécessaire) :

    • Isoler la toiture et les combles avec de la laine de verre ou de roche (environ 30% de la chaleur se perd à cet endroit, pensez à vérifier également si votre toiture n’a pas besoin d’une réparation en même temps)
    • Isoler les murs, également avec de la laine de verre ou de roche, de préférence par l’extérieur pour éviter les déperditions thermiques (idem, on perd environ 30% de la chaleur)
    • Changer les portes, mais aussi les fenêtres (une fenêtre trop vieille, en plus de perdre de la chaleur, va vous exposer à un bruit important).
    • Isoler les sols si cela est nécessaire (parfois, la pose d’un tapis dans un salon ou une chambre aide beaucoup)
    • Enfin, faire la chasse aux fuites d’air (tout en gardant une ventilation correcte)

    En réalisant ces travaux, ou en vous assurant qu’ils sont déjà faits, vous économiserez des sommes importantes sur vos factures d’énergie. D’ailleurs, vous pouvez même aller un peu plus loin en changeant votre mode de chauffage. En effet, si votre chaudière est trop ancienne ou si, pire encore, vous vous chauffez à l’électricité, changer pour un chauffage plus efficace vous fera réaliser de belles économies. Bien entendu, ce n’est pas ici une isolation au sens propre du terme, mais le résultat final sera le même : vous ferez des économies.

  • Réglage de la chaudière : le passage en mode hiver

    Réglage de la chaudière : le passage en mode hiver

    La demande de chauffage varie selon les saisons. Les jours ensoleillés, en été, le chauffage est presque inutile, et pendant les saisons très froides, le chauffage de toutes les pièces de la maison est essentiel. Les chaudières modernes proposent généralement deux programmes différents pour les saisons chaudes et froides. Découvrez ici comment régler la chaudière en mode hiver et les précautions à prendre pour que la transition se déroule bien.

    Mettre la chaudière en mode hiver : la technique

    Dans la plupart des cas, l’opération peut être complétée en appuyant sur un bouton. Lorsque tout va bien, vous pouvez passer du mode hiver au mode été en ajustant ou en activant (sur les anciens modèles) le bouton ou l’écran numérique. Le passage du mode été au mode hiver peut faire fonctionner le radiateur et l’eau chaude en même temps, réchauffant ainsi le cœur et le corps et la famille. La combinaison gagnante vous permet de trouver un endroit confortable et chaleureux à la maison, surtout lorsque le radiateur fonctionne, vous permettant de prendre un bain chaud.

    Si votre chaudière est en mode été : heatandsteel.be recommande de régler votre chaudière en mode hiver lorsque la température commence à baisser pour s’assurer que tout est prêt pour le premier froid. Si votre chaudière est éteinte : les chaudières qui n’intègrent pas la fonction eau sanitaire sont inactives en été. Lorsque les intempéries arrivent en automne, le système doit être redémarré.

    Les précautions à prendre avant le passage en mode hiver

    Avant de redémarrer le système de chauffage, il est nécessaire de vérifier tous les installations et équipements pour assurer son confort et son efficacité optimale. Tous les équipements doivent être entretenus une fois par an, de préférence au redémarrage de la chaudière.

    La purge des radiateurs

    Vous venez de redémarrer la chaudière en mode hiver, mais la convection ne chauffe pas. Si votre chaudière est en mode hiver et que vous n’avez effectué aucune autre opération dessus, vous avez probablement besoin d’un radiateur. Pour cela, nous vous recommandons de remettre la chaudière en mode été, puis de rechercher un robinet ou une vis de purge sur l’appareil.

    L’évacuation consiste à évacuer le radiateur à eau froide coincé dans celui-ci pour éviter que le liquide caloporteur ne chauffe le noyau en fonte du dispositif de convection. Utilisez un bassin ou un récipient pour que l’eau ne coule pas vers le sol, puis tournez la vis pour vider l’eau dans le radiateur. Si ces éléments sont pleins et doivent être retirés, ils ne transmettront pas de chaleur dans votre maison.

    La vérification de la pression de la chaudière

    Une pression d’installation trop basse rendra le radiateur incapable de fonctionner. La pression de la chaudière doit être comprise entre 1 et 1,5 bar pour que le liquide de refroidissement soit acheminé vers le radiateur à gaz. Une pression trop basse ne pourra pas réguler la chaleur dans divers équipements, et une pression trop élevée mettra en danger vos tuyaux et équipements. Par conséquent, veuillez vérifier la pression optimale de la chaudière pour assurer un fonctionnement normal de l’équipement.

  • Comprendre le système de fonctionnement d’un brûleur mazout

    Comprendre le système de fonctionnement d’un brûleur mazout

    Responsable du chauffage de l’eau avant sa diffusion, le brûleur est un élément essentiel à une chaudière. Le brûleur mazout est le plus répandu et le plus utilisé. Cela s’explique par le fait que c’est un choix qui limite la production de gaz nocifs à l’environnement. Encore faut-il comprendre son système de fonctionnement.

    Quid du brûleur mazout

    Il importe de rappeler qu’un brûleur est une pièce mécanique faisant partie d’une chaudière. D’une manière simplifiée, comme mentionné, c’est l’élément qui se charge de chauffer l’eau avant de la diffuser dans le radiateur. Autrement dit, le brûleur permet le mélange du fioul et de l’air comburant. De ce fait, sans surprise, il brûle le fioul. De plus, c’est un composant qui permet une combustion sécurisée, car tout se régularise tout seul.

    Cependant, on l’aura compris, c’est une pièce maîtresse de la chaudière. De plus, on parle de combustion. Cela dit, tout entretien de chaudière toute marque implique l’entretien du brûleur. Il en est de même pour la vérification de son état afin d’assurer le bon fonctionnement de la chaudière. Pour ce faire, il est recommandé de faire appel à des professionnels.

    Fonctionnement du brûleur

    Un brûleur fonctionne de manière séquentielle. Cela dit, on distingue généralement 5 séquences. A savoir le pré-allumage. Cela consiste à la mise à la tension de l’appareil. Puis il y a la mise en feu pendant laquelle le fuel est envoyé vers le gicleur. La troisième séquence consiste à stabiliser la flamme pour pouvoir passer au régime de fonctionnement. La séquence finale, c’est l’arrêt dont la mise hors tension de la chaudière.

    Par ailleurs, un brûleur est composé de différents éléments au nombre de 7 principalement. Il y a la pompe à fuel, le ventilateur pour avoir l’air nécessaire à la combustion. Il y a également l’électrovanne, le gicleur, le réchauffeur de fuel, les électrodes et la tête de combustion. Il va sans dire que chaque élément a son rôle précis qui contribue au bon fonctionnement du système du brûleur dans la chaudière.

    Les différents types de brûleurs

    On distingue deux types de brûleur mazout. Notamment le brûleur à flamme bleue. C’est une bonne solution alternative particulièrement pour une utilisation propre. En effet, il y a moins de productions de CO. Presque la totalité des combustibles est utilisée. D’ailleurs, cette combustion totale est à l’origine de la flamme bleue, d’où son nom. De plus, cette flamme est à basse température. Cela limite également la production d’oxyde d’azote.

    Le deuxième type est le brûleur à flamme grise ou brûleur low-NOx. Comme on peut le deviner par cette appellation, ce type de brûleur utilise un système qui limite spécifiquement la production d’oxyde d’azote. Cela dit, la température maximale de la flamme est également limitée à un certain niveau plus bas.

    Toute somme, le brûleur mazout fonctionne d’une manière à optimiser la combustion et à limiter la pollution. C’est pour cela que c’est une option qui présente de nombreux adeptes en France. Néanmoins, encore une fois, l’entretien est primordial afin de tirer meilleur profite de la chaudière.

  • Choisir entre une chaudière ou une condensation à mazout

    Choisir entre une chaudière ou une condensation à mazout

    Lorsqu’on envisage une nouvelle installation de chauffage central, le choix d’une chaudière est crucial. Selon votre budget, vos habitudes de consommation et vos préférences personnelles, vous pouvez choisir une variété d’options. Découvrez le plus avantageux pour vous, une chaudière classique ou une condensation à mazout.

    Quels sont les critères de choix ?

    Lors du choix d’une nouvelle chaudière, en suivant les recommandations de chauffagelacroix.be, les critères suivants doivent être pris en compte :

    • Type de carburant
    • Rendement
    • Système de combustion
    • Votre espace d’hébergement
    • Vos besoins en eau chaude sanitaire

    Concernant le prix, veuillez tenir compte du prix d’achat et du coût d’utilisation. Des chaudières plus efficaces telles que les modèles à condensation nécessiteront un certain investissement financier lors de l’achat, mais dans les premières années, elles seront rentables chaque jour, vous faisant économiser de l’argent.

    Gaz ou mazout, qui est le plus économique ?

    Compte tenu des tendances actuelles, le chauffage au gaz semble être la solution idéale. En fait, le coût d’installation de ces équipements est bien inférieur à celui des chaudières au mazout. Ceux-ci n’ont pas besoin d’installer un réservoir de carburant. De plus, le gaz naturel s’avère être plus écologique en termes de combustion. En fait, avec la même consommation, le gaz naturel produit en moyenne 25 % moins de dioxyde de carbone que le mazout.

    Cela dit, il faut noter que le prix du gaz naturel est légèrement supérieur à celui du carburant. Malheureusement, la hausse de la valeur du dollar indique que la courbe des prix pourrait s’inverser à l’avenir. De plus, le mazout varie fortement selon le moment de l’approvisionnement, le tarif semble plus élevé en hiver. Enfin, plus la consommation des bâtiments est importante, plus l’impact des variations des prix du carburant sur les coûts de chauffage devient primordial.

    En ce qui concerne l’efficacité, le chauffage classique dispose d’un léger avantage. Le rendement des chaudières à gaz à condensation modernes dépasse 98 %, tandis que le rendement des chaudières à condensation au mazout n’est que de 94 %. Par conséquent, le chauffage au gaz bénéficie légèrement de la condensation. Et outre les prix du carburant et l’efficacité des équipements, d’autres coûts doivent être pris en compte. Le prix des chaudières à gaz à condensation modernes est de 1 000 à 1 500 euros moins chers que les chaudières au mazout. Par conséquent, la plupart des preuves semblent soutenir le chauffage au gaz.

    En bref, pour passer d’une chaudière traditionnelle au mode à condensation, le système d’échappement doit être remis à neuf. Que ce soit une chaudière à gaz ou une condensation au mazout. Vous devez en tenir compte lors du calcul. L’avantage du gaz naturel est qu’il n’est pas nécessaire de stocker du carburant, il n’est donc pas nécessaire de payer à l’avance. Plus important encore, le gaz naturel doit avoir des fournisseurs bon marché, qui peuvent être trouvés sur divers sites de comparaison. Pour le mazout, le temps de commande joue un rôle déterminant. Comme les prix du carburant fluctuent, il est nécessaire de surveiller le marché et d’acheter lorsque le prix est bas.

  • Chauffage au sol : Comment faire le choix ?

    Chauffage au sol : Comment faire le choix ?

    Afin d’apporter plus de confort au sein de votre habitation et d’économiser en espace, l’installation chauffage peut être entrepris au niveau du sol. En effet, cette option représente un grand nombre d’avantages. Existant sous forme de chauffage au sol hydraulique et électrique, vous devez analyser vos attentes et connaître les spécificités pour faire le choix entre les deux. Tout de suite les détails.

    Fonctionnement du chauffage au sol

    Le chauffage au sol constitue l’un des fruits de l’évolution du monde du chauffage. Comme la chaleur traverse directement le sol, cela se répand équitablement dans toute l’habitation et offre la possibilité d’assurer le chauffage de toutes les pièces.

    Les planchers chauffants électriques se ressemblent aux planchers chauffants fonctionnant à l’eau. Afin de marcher, il nécessite l’installation de tubes en PER. Ces derniers sont à poser sur une plaque isolante. Par la suite, une dalle flottante est utile pour les recouvrir. C’est à l’intérieur de ces tubes que l’énergie circule et se charge du chauffage du logement.

    Certes, dans les années 60, les chauffages au sol étaient dotés d’une température assez élevée. Cependant, de nos jours, les modèles se caractérisent par une basse température allant entre 25° à 30°C.

    Le chauffage au sol électrique

    Ce type de chauffage se distingue par son caractère économique durant l’installation. De plus, il ne requiert pas d’entretien spécifique. Toutefois, le coût de consommations s’avère être plus élevé.

    Il est assez captivant sur le plan esthétique. De plus, il est très pratique. Afin de vous accompagner dans votre choix, il serait pertinent d’approcher un professionnel.

    Pour l’installation, il nécessite un câble électrique servant de résistance serpente dans le sol. Puis, cela forme une trame chauffante qui permet de répandre la chaleur de façon uniforme.

    Le plancher chauffant fonctionnant à l’eau

    Comparé au chauffage au sol électrique, le plancher chauffant à l’eau se présente comme plus coûteux. Néanmoins, il se rentabilise plus rapidement. Afin de garantir le chauffage du sol, il nécessite le recours à une pompe à chaleur ou bien une chaudière. Pour l’installation de ce type de chauffage, le recours à un professionnel est obligatoire.

    Par ailleurs, pour assurer que le chauffage fonctionne convenablement et qu’il soit durable, il est de mise de l’entretenir régulièrement. Cela est à effectuer annuellement avec la pompe à chaleur.

    Choisir le revêtement

    Quel que soit le type de chauffage choisi, il peut être couvert d’un revêtement de sol. Toutefois, il est crucial de respecter les normes établies par le DTU 53.1 ainsi que les notices du fabricant.

    Entre autres, si vous allez déposer une moquette, il faudrait éviter la résistance thermique trop importante. Cela est valable pour les autres stratifiés comme les PVC, les plastique, le linoléum, et autres. Pour les parquets massifs, il est de mise d’adopter la pose collée. En effet, la pose flottante à est strictement à éviter.

    Il serait plus judicieux d’opter pour le carrelage ou encore les matériaux d’originale minérale comme les marbres. Ils se caractérisent par une faible résistance thermique. Il en est de même pour la céramique, la terre cuite ou encore l’ardoise.

    Recourir aux services d’un professionnel

    Que ce soit dans le cadre d’une nouvelle construction ou bien une rénovation, il est toujours essentiel de confier l’installation d’un chauffage au sol à un professionnel. En effet, cela est indispensable pour garantir la qualité des travaux. La mise en place du chauffage nécessite l’établissement de tuyauterie en dessous de la chape du béton qui servira de sol pour la pièce.

    Toutes les opérations relatives à l’installation nécessitent des expériences et des compétences bien spécifiques. Même lors de l’entretien du chauffage au sol, le recours d’un spécialiste est de mise.

  • Astuces pour entretenir votre chaudière à gaz

    Astuces pour entretenir votre chaudière à gaz

    Vous disposez d’une chaudière à gaz ? Vous devez donc savoir qu’il vous fait l’entretenir de façon régulière, autrement cela vous causera quelques petits ennuis non anodins. En effet, l’entretien de la chaudière à gaz est une étape obligatoire pour de nombreuses raisons. Découvrez tout ce qu’il y a à savoir sur ce sujet en poursuivant la lecture de cet article.

    Les étapes pour l’entretien

    Qui sera en charge de l’entretien de votre chaudière à gaz, quelles sont les mesures de précaution à prendre et quelles sont les différentes étapes pour nettoyer votre appareil? Ces questions seront élucidées une à une.

    Qui peut faire l’entretien de votre chaudière à gaz ?

    Vous avez la possibilité de faire vous-même cet entretien ou bien de recourir au service d’un bon professionnel en la matière. Dans le second cas, nous vous invitons à consulter le lien dethioux.be afin de pouvoir confier son entretien à des experts.

    Les mesures de précaution

    Lorsque vous passez au nettoyage de votre chaudière, vous devez vous assurer que celle-ci est hors de fonctionnement depuis un long moment afin d’éviter les éventuels accidents que cela est en mesure d’occasionner. Gardez en tête qu’il ne faut jamais effectuer des manipulations si votre appareil vient de fonctionner. Le mettre hors circuit est donc une étape cruciale.

    Le nettoyage proprement dit de votre chaudière

    En ce qui concerne les différentes étapes de nettoyage, vous devez tout d’abord commencer par ouvrir le capot de votre chaudière et le poser à proximité. Ensuite, brosser les ouvertures de ventilation afin de pouvoir éliminer la poussière. Enlevez tous les résidus susceptibles de se trouver dans le corps de la chauffe avec un pinceau ou bien une brosse à dents et nettoyez délicatement le brûleur ainsi que la plaque collectrice. Il est possible de vous servir d’un aspirateur pour nettoyer les parties accessibles. Faites attention à ne pas heurter aucune partie fragile de votre chaudière car un mouvement brusque pourrait casser un élément important. Enfin, observez la veilleuse. Dans le cas où la lumière est bleue et qu’elle reste vive, tout est en parfait état. En revanche, si elle est plutôt jaune, orange, ou encore rouge et qu’elle vacille, cela traduit une mauvaise combustion. Ainsi, vous devez obligatoirement faire appel à un professionnel qui résoudra le problème dans les plus brefs délais.

    Quel est l’intérêt d’entretenir votre chaudière à gaz ?

    Il existe de nombreuses raisons qui expliquent l’intérêt d’entretenir de façon régulière votre chaudière à gaz. Vous devez faire une visite technique fréquemment afin d’éviter les éventuels dégâts. En effet, l’entretien de votre chaudière à gaz constitue une garantie essentielle de votre sécurité et également de la pérennité de votre appareil. Si vous négligez cette étape, cela pourrait présenter des risques importants pour votre santé car en absence d’entretien, votre chaudière émet du monoxyde de carbone qui est un gaz toxique très dangereux s’il est inhalé. Cet entretien permet entre autres de la faire briller de d’allonger sa durée de vie. De plus, cela vous permettra par la même occasion de réaliser d’importantes économies. En effet, vous pouvez effectuer jusqu’à 12% d’économie d’énergie de combustible et d’augmenter jusqu’à 3 fois la durée de vie de votre appareil et d’avoir 5 fois moins de risque de pannes.

  • Modèles de radiateurs électriques pour sublimer votre intérieur

    Modèles de radiateurs électriques pour sublimer votre intérieur

    Les radiateurs électriques ne se cachent plus mais participent désormais à l’ambiance de la pièce. De ce fait, en plus de leur aspect fonctionnel, les radiateurs électriques apportent aussi leur petite touche de charme à nos décors. Ils se choisissent donc avec non seulement pour leur confort de chauffe mais également pour leur esthétique. Voici donc les différents modèles de radiateurs électriques pour sublimer votre intérieur.

    Radiateur électrique en pierre naturelle

    La pierre naturelle est un excellent choix pour un radiateur électrique. Il allie confort et esthétique. En l’occurrence, outre son indéniable aspect déco, elle est riche en silicium et en aluminium. C’est la raison pour laquelle elle permet une montée de température rapide, une chaleur de longue durée même après l’arrêt de l’appareil ainsi qu’une agréable et enveloppante sensation de chaleur. C’est aussi un radiateur électrique design pas cher car grâce à sa fonction détection de fenêtre ouverte et à sa possible programmation, c’est un appareil incontestablement économique.

    Radiateur électrique de style industriel

    Vous pouvez aussi opter pour un radiateur qui se marie avec des matériaux comme l’acier, le bois ou encore le béton pour une esthétique brute bien dans l’air du temps. Il s’agit d’un radiateur électrique de style industriel. Pour le faire fonctionner, une huile minérale 100% naturelle circulera dans le radiateur avant de se réchauffer au contact d’une résistance électrique immergée. Vous allez donc pouvoir profiter d’une chaleur douce et homogène très agréable.

    Radiateur électrique de modèle vintage

    Opter pour un radiateur à inertie fluide qui se décline en 5 coloris afin de s’adapter à tous les habitats. Il est équipé d’un thermostat magnétique qui permettra de régler la température idéale. Une fois que le thermostat est retiré, il s’utilise comme une télécommande afin de programmer simplement les plages de chauffage. Il se fixe au radiateur grâce à l’aimant. Ce modèle est très pratique et esthétique pour votre décoration au style vintage.

    Radiateur électrique au design sculptural

    Ce type de modèle est tout autant décoratif qu’un tableau. Il allie une fabrication haut de gamme avec un esthétisme unique. De plus, il est conçu en pierre Olycale qui est une pierre naturelle concassée puis restructurée. Il est aussi doté d’une performance très élevée d’accumulation et de restitution de la chaleur avec une inertie proche de la fonte, matériau de chauffe par excellence.

    Radiateur plinthe pour vos sous-fenêtres.

    C’est une solution très efficace pour les petites espaces. Grâce à sa hauteur qui est réduite de 30 cm, il peut facilement se glisser sous une fenêtre ou encore dans un espace qui dispose d’une faible hauteur. Il fonctionne en inertie et diffuse une agréable chaleur homogène de façon très économique. Il dispose aussi de la fonction détection automatiques des fenêtres ouvertes, ce qui explique qu’il est en mesure de générer jusqu’à 30% d’économies par rapport à un convecteur de première génération.

    Radiateur soufflant portable

    Le radiateur soufflant garantit une montée de température rapide, puissante, autogérée mais également à chaleur moins sèche. Vous pouvez donc opter pour un radiateur léger et ultra compact pour vous accompagner dans vos déplacements dans toute la maison. Ce type de radiateur est doté d’une poignée ergonomique qui facilite son transport dans toutes les pièces de votre logement.

  • Climatiseur : comment l’installer ?

    Climatiseur : comment l’installer ?

    L’installation d’un climatiseur a pour but de rafraîchir la température ambiante chez soi. La complexité de l’installation varie selon le modèle que vous avez choisi. Vous pouvez procéder vous-même à la pose de votre appareil. Mais il faut privilégier l’intervention des professionnels. Ce serait idéal pour assurer la qualité du travail. Pour assurer l’efficacité de votre climatiseur, des critères sont pris en compte. Découvrez dans cet article les informations nécessaires pour préparer au mieux votre installation.

    Les différents types de climatiseurs

    Il y a deux principaux types de climatiseurs sur le marché.

    • le système monobloc : il comprend une seule unité et peut être fixe ou portable.
    • le système split : il se compose de deux unités. La première est placée à l’intérieur de votre habitation et la seconde à l’extérieur. Elles sont reliées entre elles à l’aide de tuyaux. Il est possible d’associer plusieurs unités intérieures à une unité extérieure, ce qu’on appelle un multisplit.

    Toutefois, il ne faut pas prendre votre choix à la légère. De nombreux critères méritent d’être considérés avant votre prise de décision. En sollicitant le service des experts, ils vont procéder à un bilan thermique pour découvrir les performances thermiques de votre foyer. Par la suite, ils pourront vous aider à choisir le climatiseur adapté et économe pour vous en fonction du résultat et de vos besoins. Les compétences de l’équipe chauffagiste.biz sont à votre disposition pour vous accompagner dès le début de votre projet.

    Le choix de l’emplacement de l’appareil

    En plus du bilan thermique, l’emplacement du climatiseur est aussi important et devrait être fait tout en tenant compte de quelques facteurs et des avis des professionnels. L’appareil doit être installé dans un endroit aéré et à l’abri de l’humidité. Il faut aussi éviter de le placer près d’une source de chaleur. Son emplacement à côté du lit ou du canapé n’est pas recommandé, car l’air soufflé vise directement les personnes.

    L’installation du climatiseur

    Après avoir choisi l’emplacement, vous pouvez procéder à la réalisation de l’installation. Pour commencer l’installation d’un climatiseur split, il faut poser l’unité intérieure en premier. Pour réussir sa pose murale ou au sol, il faut fixer un support solide pour cette unité. Ensuite, percer un trou et faire passer le câble ainsi que le tuyau d’évacuation à travers le mur. Puis fixer l’unité intérieure sur son support. Accrocher et fixer l’unité extérieure. Pour raccorder les unités des unes des autres, des tubes en cuivre de qualité frigorifique sont utilisés.

    Concernant un climatiseur monobloc, son installation est plutôt simple. L’idéal est de le placer à proximité d’une fenêtre ou d’une porte pour évacuer l’air vers l’extérieur à l’aide d’une gaine d’évacuation. Il faut aussi percer le mur pour y faire passer le tuyau.

    Faire appel à un professionnel est préférable pour l’installation, particulièrement pour le système split. Cela ne présente que des avantages. La pose de votre climatiseur sera faite suivant les normes en vigueur. Il vérifiera la mise en marche et l’entretien à venir de votre appareil. Si vous optez pour un climatiseur réversible, il a la capacité de diffuser de l’air froid comme de l’air chaud. Son installation doit être faite par un professionnel.

  • Isolation d’une véranda, les travaux à effectuer

    Isolation d’une véranda, les travaux à effectuer

    Chacune des pièces d’une maison joue un rôle important. Une véranda dispose des fonctions diverses suite à vos besoins et vos envies. Elle permet l’agrandissement d’une maison en créant un espace convivial et lumineux. Il est possible d’apporter un aménagement à une véranda. Le confort doit être privilégier afin de s’y sentir à l’aise en toute saison. L’isolation est une tâche qu’il ne faut pas prendre à la légère. Comment faut-il donc procéder ?

    Les solutions d’isolation d’une véranda

    Pour que la véranda soit plus accueillante en été qu’en hiver, il convient de bien entreprendre son isolation. D’abord, le choix du vitrage adapté à la véranda est important. Celle-ci se constitue, en grande partie, de vitres. Au moment des travaux d’isolation, le vitrage est à privilégier. Evitez de faire des économies sur la qualité des fenêtres de votre véranda. Pour une bonne isolation, le minimum sera d’installer un double-vitrage. Si possible, optez jusqu’à un triple-vitrage ou un vitrage à isolation renforcée. Ensuite, isolez sa toiture. De nombreuses façons existent pour couvrir une véranda. Il y a la toiture classique, le verre, les plaques opaques et les panneaux en polycarbonate. Parmi ces couvertures, le verre reste le plus isolant de sorte que le vitrage soit double ou triple. Néanmoins, avant de faire le choix du matériau de toiture, tenez bien compte de la situation géographique. Enfin, le sol de la véranda nécessite également une isolation.

    Il arrive que le froid et l’humidité surviennent en cas d’un sol mal isolé thermiquement. Sa rénovation est à envisager. Décaper le revêtement du sol existant et glissez un isolant en bandes ou en plaques. Pour une véranda en phase de construction, la pose d’une plaque en mousse isolante est optimale. Elle se met entre la chape de béton et la feuille hydrofuge. Du feutre bitumeux fera aussi l’affaire.

    Les matériaux utiles pour structurer l’isolation d’une véranda

    La structure prend une place importante dans l’isolation d’une véranda. Vous pouvez choisir le style qui vous convienne le plus, selon vos envies et le budget en main. Pour vous donner entière satisfaction, metland.fr vous propose ses services et recommandations dans vos projets. Il existe de nombreux matériaux pour structurer une véranda. D’abord, il y a le PVC. La véranda en PVC reste le plus économique. Elle dispose d’un meilleur rapport qualité-prix et de résistance à l’usure. Son entretien est facile à exécuter. Ensuite, il existe le bois. Optez pour ce dernier afin de revêtir votre véranda du fait qu’il soit un matériau naturellement isolant. Pour une résistance à la variation de température, choisissez des bois exotiques. Après, vous pouvez aussi opter sur l’alu. La véranda en alu semble moins isolante par rapport au PVC ou au bois mais facile à entretenir. Il convient d’aménager des châssis de rupture de pont thermique sur la structure.

    Enfin, le fer forgé n’est pas à oublier. Ce dernier n’est pas optimal en termes d’isolation. De plus, le prix est élevé. Pourtant, il offre du caractère et un aspect raffiné à l’ensemble de la maison. Le choix vous appartient sur la structure que vous préférez.

  • Bon moment pour changer la laine de roche

    Bon moment pour changer la laine de roche

    Sachez que, quel que soit le matériau, l’isolant a une durée de vie limitée, et est parfois très court. Cependant, cette durée de vie dépend des matériaux consolés pour sa fabrication, mais également des procédures de fabrication. Elle peut aussi résulter des circonstances dans lesquelles l’isolant a été posé. (suite…)